Cette expérience s’est déroulée lors ma semaine de formation à l’Artec, module « Peinture, Formes et Couleurs » animée par Ishtar Jaulin.

Après le repas de la deuxième journée, certains étaient fatigués et préféraient regarder un film, d’autres voulaient poursuivre sur une dynamique créative… le compromis « FILM – J’Y VAIS »  a été trouvé : le documentaire sur Nikki de Saint Phalle a été lancé et chacun a pu se laisser aller à créer à l’image de …

Ce documentaire est d’une telle richesse que l’inspiration vient toute seule : de la puissance des formes arrondies et naïves au gigantisme des sculptures colorées, je me suis laissée aller à recouvrir une dizaine de feuille A3 rapidement sans réfléchir…

Entre autres, les NANAS de Nikki de Saint Phalle s’inscrivent dans une symbolique familière qui ouvre un champ d’expression infini… j’aurais pu rester des heures à dessiner ces formes et ces couleurs…

D’écouter en même temps permet de ressentir l’énergie de l’artiste et de s’en nourrir. Elle qui n’avait jamais pris un cours de dessin, a su transformer sa rage en création, pour s’aider soi et les autres …. j’ai ressenti beaucoup d’émotion au cours de ce visionnage, je me suis sentie proche de cet artiste que je ne connaissais que très peu finalement.

WHO CARE’S ?

est une phrase de Nikki que je fais mienne désormais 😉.